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Écrite pour l’occasion de l’inauguration du sentier touristique dit des Loges de vigne, sur la base d’entretiens réalisés par Aurélie Melin, ehtnographe à la Villa Bissinger, cette saynète présente succintement le rôle majeur qu’ont joué longtemps pour les vignerons champenois ces constructions partout visibles dans les vignes, entre cabane à outils et abri en dur.
Lieux de la mémoire des « petites gens » d’ici, ces loges ont également abrité les troufions épuisés en temps de guerre ; les vagabonds errants en temps de paix ; et au printemps, de tout temps, les amours naissantes et les autres…
Voir aussi : Marche des réconciliations…